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La polysomnographie en nuit partagée en laboratoire se divise en une première partie de nuit diagnostique et une deuxième partie de nuit thérapeutique.

La première partie sert à diagnostiquer la sévérité des arrêts respiratoires et permet de déterminer combien de fois, dans une période d’une heure, le patient arrête de respirer.

La deuxième partie de la polysomnographie en nuit partagée sert à corriger ces arrêts respiratoires. Cela est possible grâce à l’utilisation d’un appareil CPAP. L’inhalothérapeute commencera la thérapie par CPAP à très basse pression. Ainsi, le patient s’endormira sans que la pression insufflée par l’appareil soit agressante. Quand le sujet est endormi, la pression augmente progressivement jusqu’à corrections des arrêts respiratoires.

Une seule nuit est nécessaire pour diagnostiquer un syndrome d’apnée du sommeil.